Oui, deux ans de silence... Ulysse n'était plus heureux au "pays du bonheur éternel" et ne croyait plus tellement à l'expression alternative sans cesse muselée par Ammar et ses acolytes ! Mais c'était sans compter avec ce vent de colère venu des terres les plus reculées porté par la volonté des hommes libres (n'est ce pas ainsi que les berbères aiment se désigner ?). Alors aujourd'hui je peux de nouveau paraphraser Darwish : "sur cette terre, il y a ce qui mérite de vivre " !
Merci à tous ceux qui ont sacrifié leur vie pour qu'on puisse de nouveau respirer.
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